Maison du Parc Amazonien à Maripasoula

SITE
Maripasoula, Guyane
Maitre d'ouvrage
Parc Amazonien
Phase
DET (2018)
Surface
1003 m2 (plancher)
Coût
1,86M €
Mission
Base
Co traitants
ROBERT CELAIRE, EGIS
Part
70%

Le projet en quelques mots

par1

Il nous paraît important que la Maison du Parc Amazonien possède un caractère public et emblématique dès la première phase de son fonctionnement et laisse également percevoir son image définitive.
C’est pourquoi nous avons imaginé un bâtiment conçu comme un « exo-squelette » qui, au fur et à mesure, se remplit par des « boites » (les bureaux), ou se couvre d’une « peau » (les espaces publics). Les espaces pour toutes les extensions futures sont prévues dans le volume général : l’implantation en travers de la pente permet de dégager un espace pour le carbet, la bibliothèque et le studio.
Cette implantation permet en outre d’orienter la façade principale du bâtiment sur le fleuve, profitant ainsi de la vue et de la ventilation, en même temps qu’elle positionne la partie logistique à l’arrière de la parcelle, l’isolant ainsi du public.
L’implantation des divers ateliers et magasins se fait par paliers successifs afin d’épouser la pente naturelle du terrain et limiter les terrassements.
Le bâtiment principal, quant à lui, offre ainsi une façade principale sur le prolongement de la promenade du Lawa, mais également sur les deux voies adjacentes puisque le traitement des pignons s’inspire de l’architecture des cases traditionnelles Boni.

Il nous paraît important que la Maison du Parc Amazonien possède un caractère public et emblématique dès la première phase de son fonctionnement et laisse également percevoir son image définitive.
C’est pourquoi nous avons imaginé un bâtiment conçu comme un « exo-squelette » qui, au fur et à mesure, se remplit par des « boites » (les bureaux), ou se couvre d’une « peau » (les espaces publics). Les espaces pour toutes les extensions futures sont prévues dans le volume général : l’implantation en travers de la pente permet de dégager un espace pour le carbet, la bibliothèque et le studio.
Cette implantation permet en outre d’orienter la façade principale du bâtiment sur le fleuve, profitant ainsi de la vue et de la ventilation, en même temps qu’elle positionne la partie logistique à l’arrière de la parcelle, l’isolant ainsi du public.
L’implantation des divers ateliers et magasins se fait par paliers successifs afin d’épouser la pente naturelle du terrain et limiter les terrassements.
Le bâtiment principal, quant à lui, offre ainsi une façade principale sur le prolongement de la promenade du Lawa, mais également sur les deux voies adjacentes puisque le traitement des pignons s’inspire de l’architecture des cases traditionnelles Boni.